Boulot!

Will arriva avec tout un arsenal d'outils tous aussi grotesques les un que les autres, en fer, en bois, en différents métaux qui n'avaient en soit presque aucune valeur, la seule important de ces instruments furent leur poids. Il commença à démonter les bareaux d'une cellule complètement cassée, une autre complètement moisie d'un peu partout, l'humidité et la saleté de la prison avait rongé le métal dans lequel avait été fabriqué les grilles. Il plaça les autres, le plus soigneusement possible sans pour autant se presser, d'autant plus que c'était assez lourd et que la technique utilisée prennait du temps mais cela en valait la peine car quand il finit, il eut les félicitations des soldats.

Deux soldats entrèrent. Ils tenaient Neil par les bras.

-Et j'espère que tu retiendras la leçon! on n'échappe pas aux Anglais!, crièrent-ils en jetant le jeune homme dans une cellule vide près de l'endroit où Will travaillait. Ils refermèrent la cellule et partirent. Avant de quitter la pièce, le capitaine s'adressa au forgeron.

-Monsieur Turner, c'est l'heure de notre pause. Voudriez-vous surveiller ce prisonier quelques minutes?

William se tourna vers les soldats et accepta leur demande bien qu'il fut surpris qu'il n'y ait pas d'autre garde pour assurer la sécurité dans la prison. Il continuait de monter les grilles, les soudants, frappant avec le marteau ect... Il continua son boulot tant bien que mal, il commençait à transpirer fortement. Il s'asseya trente secondes pour faire une petite pause et boire un coup.

*C'est pénible comme travail mais je dois tout terminer!*

Neil s'assis dans un coin du sa cellule et regarda Will travailler. Lorsque celui s'assit pour prendre une pause, il se leva et alla près de la grille.

-Éh, toi! tu n'as pas l'air d'être un homme cruel. Je suis sûr que tu es un simple forgeron bien gentil. Alors j'ai une faveur à te demander. Ouvre cette cellule, laisse moi sortir je te prie. Les autorités ont dit que j'avais fait quelque chose de mal, mais le bien ou le mal dépandent surtout du point du vue accordé... alors je t'en prie: ouvre cette cellule pour moi s'il te plait!

Will fut très surpris que le jeune prisonnier l'appel à lui, alors que comme il venait de le dire, ce n'était qu'un simple forgeron bien gentil, bien mignon et qui ne défirait pas pour tout l'or du monde les autorités. Il le regarda de loin, du moins, il faisait semblant de le regarder, il avait la tête ailleurs. Il pensait à Elizabeth, à leur première rencotre.

"Pourquoi ferais-je ça?"

-Car bien que je sois enfermé ici, je n'ai commis aucun crime! Les Anglais ont eu peur de mon peuple, alors ils nous ont tués! je me suis échappé, mais ils m'ont retrouvés... dans une heure, je serai pendu. Et toi, comme tu es gentil, tu va me sauver la vie! Je serai prêt à te rendre un service, si tu le désire!

William Turner eut un petit sourire, il trouvait son histoire complètement absurde, déjà, le jeune homme parlait parfaitement l'anglais, de plus il n'avait pas la tête d'un peuple ethnique quel qu'il soit! Et quand à sa proposition de faire quelque chose pour lui, il ne ferait que l'envoyer en prison à son tour, il en était hors de question.

"Tu sortiras lorsque ton histoire tiendra la route! Et que tu ne me prendras pas pour un gentil naïf!"

-Je n'ai jamais dit que tu était Naïf! La Canada, tu connais? Les patriotes!? Tu ne vois pas que les Anglais sont cruels? Crois-moi, tu les crois honnêtes, mais un jour tu sera leur ennemi, et tu devra te battre contre eux! Et celà arrivera bien avant que tu le pense, c'est moi qui te le dit!

Il se mit à genoux.

-Je t'en prie! Mon devoir en se monde n'est pas terminé, j'ai encore un rôle à jouer. Tu dois me libérer, je t'en suplie!

William était loin d'être insensible aux actes du jeune homme mais il ne pouvait se permettre de ne plus avoir de tête pour avoir aidé, quelqu'un qui même si elle ne fut pas coupable, était une hors-la-loi. Il aurait voulu démonter ses horrbiles grilles qui contenaient toute la souffrance des hommes mais il ne pouvait le faire.

"Je suis désolé, mais je vais être obligé de refuser!"

Neil se releva et pensa un instant.

-Les Anglais vous prennent pour un simple forgeron sans histoire. Moi, je vous connais un peu mieux, William Turner. Je sais quelle est votre décendance, et que vous maniez bien l'épée.si vous m'aidez à sortir, vous n'avez qu'a faire semblant d'être assomé et vous direz aux gardes que je vous ai attaqué! Ils vous croiront, et tous deux nous échaperont à la mort!

William trouvé cette technique complètement absurde car l'homme se trouvant dans la cellule risquait bien de l'assomer après être sortit voir même, il le turait. Et puis, qui pourrait croire de tel absudrité, sa n'ouvrira surement pas la porte de la cellule de faire semblant d'être assomé! Il en conclu qu'à part se jouer de lui, il ne servirait à rien. de plus, il n'avait aucune déscendance, il n'avait même plus d'ancêtre, il était perdu. La porte de la prison s'ouvrit et les gardes revinrent dans le couloir, remerciant Will d'avoir surveillé. Turner finit son travail rapidement et partit en jettant un dernier regard hésitant au prisonnier.

Un soldat ouvrit la cellule et prit Neil pas le bras.

-Vient ici, chien galeux!

Le jeune homme avait caché ses deux dagues dans sa botte. Il s'en servit pour tuer le soldat. Puis, Neil courrut aussi vite qu'il le pouvait vers la sortit. Surpris, les soldats tirèrent mais le manquèrent de près. À l'extérieur, le prisonnier reçu une balle de fusil dans la cuisse, mais celà ne l'arrêta pas. Il lança ses dagues sur deux soldats qui gardaient l'entrée et les reprit ensuite. Enfin, il était en dehors des murs de la prison. On sonna l'alerte et une vingtaine de soldats tirèrent sur lui. Il évita toutes les balles et fonça vers l'endroit où il avait caché son épée. Lorsque la garde sortit, il entamma contre eux un cambat sanguinaire.

Vagabond Nombre de messages : 4 Age : 32 Date d'inscription : 17/06/2007

L'Amiral decendit avec des renforts pour preter main forte à ses hommes. Il se rapprocha le plus possible de Neil, et entamma le combat avec lui. Neil se battait bien mieu que ce qu'avait imaginé l'amiral, qui avait des difficultés à le mettre hors de nuire.

- Arrete toi ! tu ne peux pas tant sortir vivant ! si tu te rend, tu pourra avoir la vie sauve !

Neil voulait rien entendre, alors, l'amiral redoubla d'effort pour pouvoir le desarmé. Les deux épées se eurterent plusieur fois d'affilés jusqu'à ce qu'elles restent accrochés. Norrington en profita pour repeter ce qu'il avait dit.

- tu n'as aucune chance de tant sortir comme cela ! pirate ! rend toi ! cela vaux mieu que de te battre pour une cause perdu !

-Si je me rends, vous tuerai tout de même! Vous vous trompez si vous croyez que je vais vous faire confiance après tout ce que les anglais m'ont fait!, dit Neil, sans pour autant arrêtter de se battre.

Jamais il ne se rendrais. Plutôt mourrir plutôt que de retourner pourrir dans une cellulle en attendant d'être exécuté. L'homme avec lequel il se battait ne devait pas être un simple soldat vu la façon dont il se battait. Les autres gardes avait arrêttés d'attaquer et ne faisaient que regarder le combat oposant l'amiral et le pirate.

-Mais je dois admettre que vous vous battez bien...

Vagabond Nombre de messages : 4 Age : 32 Date d'inscription : 17/06/2007

- je vous remerci mais cela, je le savais deja !

Il essaya de desarmé Neil mais il n'y arrivait pas. Le pirate etait coriace.

- vous tenez vraiment à mourir ?

Ils continuerent à se battre jusqu'a ce que le pirate repondit à la question de Norrington

Neil souria face à la question de l'amiral.

-S'il le faut, pourquoi pas? je préfère tenter l'impossible plutôt que d'être pendu! Mais vous, tenez vous vraiment à me tuer de vos propres mains ou bien vous allez demander à vos petits soldats de le faire à votre place?

Il enchaina une nouvelle série de trois coups, qu'il avait apprise de son père lors de son premier combat.

Une voix resonna de la cellule voisine :

-Mouais ! A moi aussi on m'a demander l'impossible !Renoncé a mes genes !Vous y croyez vous ?

Elle se leva et fit un rapide tour de la petite joulle ou elle etait enferme depuis ue bonne semaine maintenant .Elle commencait a connaitre le moindre recoin comme ca poche .Puis se resigna a repartir s'assoir sur la planche de bois noir humide suspendu sur l'epai mur gris.